Inclusion numérique. Des services publics inaccessibles, on peut accepter ça ?
Droits bafoués, sentiment de mépris exacerbé : dans son n°29, Médor prend la tension d’un monde numérique fracturé, entre les murs d’un lieu d’accueil des « e-largués ».
Le Gsara, lui, nous immerge, en podcasts, dans l’envers du décor de la numérisation.
Ces deux contenus vous seront proposés à l’écoute. Puis un dispositif de discussion, dynamique et inclusif, sera mis à place pour que la parole ne soit pas réservée qu’aux personnes détentrices de diplômes ou d’une expertise reconnue. Et, enfin, il sera possible de formuler des propositions ou demandes concrètes à travers les petites annonces de Médor. Pour créer du lien. Et une forme de solution sur le terrain.
En Belgique, près d’une personne sur deux serait en situation de vulnérabilité numérique. La fracture numérique est avant tout une fracture sociale. La dématérialisation en cours depuis des années a multiplié le nombre d’exclus. Aux personnes qui ne maîtrisent pas les langues nationales ou en difficulté avec l’écrit s’ajoutent désormais les personnes âgées, peu diplômées et/ou vivant dans la précarité. La violence engendrée par la numérisation renforce le risque de non-recours aux droits et accentue les inégalités. Parlons-en !
Soirée co-organisée par Bruxelles Laïque, La Tricoterie, Le Gsara et Médor.
Réservations à tiffany (at) medor.coop
Date et horaire : Lundi 23 janvier 20h
Ouverture des portes à 19h (possibilité de manger sur place)
Tarif : Entrée libre
Salle : Salle des Arches
